Zones Termites Paris

Paris est effectivement concernée, elle fait partie des zones touchées par les termites. Tous les arrondissements, et immeubles potentiellement, car les termites bougent, se multiplient. Autour de Paris également, les départements de l’Île-de-France sont concernés, avec les Hauts-de-Seine et Yvelines en particulier.

Les zones des termites à Paris sont donc le 75, le 92, le 78, le 94, le 77, le 91, le 95 et le 93. Elles font partie des 54 départements français touchés, rien qu’en Métropole, par le termite bois. Paris est d’ailleurs une des zones les plus attaquées, avec le Sud-Ouest, la côte Atlantique, la Méditerranée et le Rhône.

Zones termites Paris : surveillance et lutte

La Ville de Paris peut obliger les propriétaires à agir, qu’il s’agisse d’un immeuble collectif, en copropriété ou non, de maisons individuelles, de dépendances et même de terrains non bâtis. Depuis fin 2012, l’attention s’est accrue car les dégâts causés par cet insecte xylophage inquiétaient et surgissaient à nouveau après quelques années de calme.

Zones termites Paris : déclaration à faire

Dès que vous avez confirmé la présence de termites, il faut prévenir les autorités qui rassemblent ces informations pour maintenir la carte des territoires touchés à jour. Si vous êtes à Paris, déposez une déclaration contre récépissé ou envoyez-la par courrier recommandé avec avis de réception à la mairie d’arrondissement.

C’est une obligation concernant tout le monde (propriétaire, locataire, syndic, etc) et passible d’une amende si elle n’est pas réalisée. La mairie d’arrondissement (ou de ville, si hors Paris), commencera par un courrier d’incitation puis une injonction à réaliser le diagnostic et les traitements nécessaires dans les six mois.

Diagnostic termites Paris : qui gère les démarches ?

Le plus sûr est bien évidemment de faire appel à un professionnel pour réaliser un diagnostic approfondi. Mais qui choisit et paie ce dernier ? Voici un résumé simple et efficace :

  • Propriétaire : vous en avez la charge ;
  • Copropriétaire : prévenez le syndic, qui va choisir et missionner un diagnostiqueur certifié ;
  • Locataire : informez le propriétaire, qui va s’occuper des étapes suivantes ;
  • Syndic : prévenez les copropriétaires et occupez-vous des parties communes (couloirs, sous-pentes, caves, etc).